On pourrait imaginer qu’en voyant ça, je me sens mal, mon esprit se ferme et invoque de vertes contrées. Moi, quand je vois ça, je sais que je suis à proximité du Havre, j’ouvre de grands yeux gourmands et je trépigne un peu, en poussant des hurlements sauvages de joie débridée.
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